Etudiant dans sa demeure, Jeanpolc reçoit une première missive venant de la mairie, il n’y prête pas trop attention, absorbé par ses livres, il ne la lit de suite quand un nouveau messager en uniforme celui-là lui tend une missive portant le blason Montfort. Intrigué il l’ouvre et la parcourt avec attention. Ses yeux s’écarquillent. Abandonnant ses bouquin, il ouvre une malle et en sort son bâton, seule arme qui lui reste après une défaite en Anjou. Il se rend à la caserne.
Demat soldat, je suis Jeanpolc de Kreneg-Montfort, je me présente ici en tant que volontaire pour défendre Felger.
Demat soldat, je suis Jeanpolc de Kreneg-Montfort, je me présente ici en tant que volontaire pour défendre Felger.